Comportement de la chambre de cuisson
Durant la montée en température, des fissures se sont ouvertes dans les parois latérales du couvercle et de la sole, ne mettant pas en péril le déroulement de la cuisson, mais créant des entrées d'air qui ont perturbé par endroits l'enfumage (point de ré-oxydation et de re-combustion des goudrons). Ces fissures ont justifié, par précaution, l'utilisation d'une sangle pour ceinturer le couvercle lors de l'ouverture du four. Lors de l'enfournement, nous avions placé le regard du couvercle à l'arrière du four, ayant constaté lors de cuissons antérieures en four à bois, que les parties sous cuites se trouvaient souvent dans cette partie de la chambre de cuisson (à l'opposé du foyer).
Nous pensions ouvrir ce regard en fin de cuisson pour diriger la flamme vers cette partie du four. La température qui nous a paru bien équilibrée n'a pas justifié l'utilisation de cette méthode. Quelle a été l'utilisation de cette ouverture? Nous ne l'avons quant à nous utilisé que pour compléter l'enfournement après avoir déjà posé le couvercle. On peut également penser à l'introduction directe dans la chambre de cuisson de matières fumigènes destinées à l'enfumage des pots en fin de cuisson. Par la suite cette ouverture nous fournit un bon moyen de préhension pour manipuler ce couvercle lors du défournement.
Après cette première cuisson noire, nous avons récupéré et transporté à Toulouse, le laboratoire du four pour l'utiliser en ambiance oxydante cette fois, dans le cadre des Journées organisées par le centre culturel Croix-Baragnon. La structure est installée dans les mêmes conditions avec un foyer plus court cette fois et a fonctionné de façon tout à fait satisfaisante.
Nous pensions ouvrir ce regard en fin de cuisson pour diriger la flamme vers cette partie du four. La température qui nous a paru bien équilibrée n'a pas justifié l'utilisation de cette méthode. Quelle a été l'utilisation de cette ouverture? Nous ne l'avons quant à nous utilisé que pour compléter l'enfournement après avoir déjà posé le couvercle. On peut également penser à l'introduction directe dans la chambre de cuisson de matières fumigènes destinées à l'enfumage des pots en fin de cuisson. Par la suite cette ouverture nous fournit un bon moyen de préhension pour manipuler ce couvercle lors du défournement.
Après cette première cuisson noire, nous avons récupéré et transporté à Toulouse, le laboratoire du four pour l'utiliser en ambiance oxydante cette fois, dans le cadre des Journées organisées par le centre culturel Croix-Baragnon. La structure est installée dans les mêmes conditions avec un foyer plus court cette fois et a fonctionné de façon tout à fait satisfaisante.